ÉLECTIONS MUNICIPALES
Équipe Coderre recrute trois indépendants, dont l’ex-syndicaliste Lorraine Pagé
Ici Radio-Canada | 29 mai 2017
Le parti du maire de Montréal, Denis Coderre, recrute trois conseillers indépendants sous sa bannière en vue des élections municipales du 5 novembre prochain. Lorraine Pagé, conseillère de Ville du district du Sault-au-Récollet, dans l’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville, s’était fait élire en 2013 au sein de l’Équipe Mélanie Joly – Vrai changement pour Montréal, parti qu’elle avait quitté en décembre 2015 pour devenir indépendante. Elle est notamment vice-présidente du comité consultatif d’urbanisme (CCU) de son arrondissement. Mme Pagé est connue pour avoir présidé l’Alliance des professeurs et professeurs de Montréal et la Centrale de l’enseignement du Québec (la CEQ, qui est devenue la Centrale des syndicats du Québec ou CSQ). Elle explique notamment sa décision de se joindre à l’Équipe Coderre par la création du poste d’inspecteur général de la Ville. « Je crois que ça a été une mesure phare de cette administration-là. C’est vraiment un mécanisme qui peut nous permettre de lutter contre la collusion », a-t-elle expliqué lundi. « La deuxième raison, c’est un engagement politique qu’on avait à l’époque au Vrai changement pour Montréal que d’obtenir un statut de métropole, et je crois que, là aussi, c’est un défi qui a été relevé par l’Équipe Coderre », a-t-elle ajouté, faisant référence au projet de loi 121, rendu à l’étape de l’étude détaillée en commission parlementaire à Québec.
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QUARTIERS VERTS
Transports actifs et collectifs
Nos pages sur les transports actifs et les transports collectifs dans Ahuntsic-Cartierville.
AMÉNAGEMENT URBAIN: Adaptons la planification urbaine à l’urgence climatique
Le Presse | Christian Savard – Directeur générale de Vivre en ville | 29 mai 2017
La scène médiatique s’est récemment faite l’écho du manque de réalisme de notre planification urbaine face à la menace climatique. La semaine dernière, l’éditorialiste Paul Journet soulignait l’absence d’une vision d’ensemble susceptible d’amener le Québec à atteindre ses cibles de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Quelques jours après, un texte de Pierre-Olivier Pineau rappelait que le meilleur investissement, tant pour s’adapter aux conséquences des changements climatiques que pour réduire les émissions, serait « un meilleur aménagement du territoire ». Cette analyse figure presque mot pour mot dans le plan d’action gouvernemental sur les changements climatiques 2013-2020. Elle sert également de fondement à plusieurs documents de planification urbaine depuis 15 ans, preuve que les décideurs et les professionnels en aménagement et en urbanisme sont largement conscients de leur responsabilité en la matière.
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AMÉNAGEMENT URBAIN: Les entreprises excentrées plombent le bilan carbone, les visiteurs des pôles situés en périphérie émettent jusqu’à 174% plus de GES
Le Devoir | Karl Rettino-Parazelli | 25 mai 2017
En décidant de quitter le centre-ville de Montréal, de Québec ou de Sherbrooke pour s’installer en périphérie, les entreprises alourdissent grandement le bilan carbone de la province, révèle une étude qui sera dévoilée ce jeudi par l’organisme Vivre en ville, dont Le Devoir a obtenu copie. En analysant 18 pôles d’activité situés dans les cinq plus importantes régions du Québec, l’organisation spécialisée en urbanisme en arrive à la conclusion que l’éparpillement des entreprises et des organismes accroît les émissions de gaz à effet de serre et complique la lutte contre les changements climatiques. L’analyse de Vivre en ville, en partie financée par le ministère des Transports du Québec, démontre que les visiteurs qui se déplacent vers les pôles d’activité situés en périphérie émettent entre 9 % et 174 % plus de gaz à effet de serre que ceux qui se dirigent vers les centres-villes.
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TRANSPORTS COLLECTIFS: Recours collectif contre la STM et l’AMT autorisé
Le Journal de Montréal | Charlotte R. Castilloux | 29 mai 2017
Un recours collectif d’une valeur de 1,5 G$ reprochant à la STM, à l’AMT et à la Ville de Montréal une attitude discriminatoire envers les personnes handicapées a été autorisé. Le Regroupement des activistes pour l’inclusion au Québec (RAPLIQ) réclame 75 000 $ par membres plaignants à la Société de transport de Montréal (STM), l’Agence métropolitaine de transport (AMT) et la Ville de Montréal. « On parle de 20 000 personnes qui aimeraient prendre le métro et le train », a expliqué Me Alain Arsenault, l’un des avocats représentant le RAPLIQ dans ce dossier, pour démontrer l’importance de la clientèle à mobilité réduite. Cette action collective autorisée vendredi par la Cour supérieure du Québec a débuté en 2015.
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TRANSPORTS COLLECTIFS: Projet Montréal officialise son projet de «Ligne rose» du métro
Le Devoir | Anabelle Caillou | 29 mai 2017
Les membres de Projet Montréal ont filtré cette fin de semaine quelque 400 propositions pour adopter les grandes lignes de leur prochain programme électoral, dont la « Ligne rose », projet phare de leur chef, Valérie Plante. Lors de la course à la direction du parti l’automne passé, Mme Plante avait proposé de créer une cinquième ligne de métro diagonale qui relierait le centre-ville à Montréal-Nord, en passant par l’avenue Mont-Royal et le boulevard Pie-IX. « On a discuté d’une ligne de désir : où est-ce qu’on souhaite aller ? précise-t-elle. Il y a tellement de quartiers qui sont mal desservis sur l’île. » La candidate à la mairie de Montréal compte entre autres sur ce projet pour déloger Denis Coderre, le 5 novembre prochain. À ses yeux, cela désengorgerait les lignes de métro déjà existantes, pour permettre aux Montréalais de se déplacer plus vite vers leur lieu de travail ou d’études. « Ils veulent de nouvelles options dans le transport collectif. […] Ils attendent toujours [le prolongement de] la ligne bleue. Nous, on leur offre la ligne rose. »
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TRANSPORTS COLLECTIFS: Trains de banlieue: dernière année triomphante pour l’AMT
Le Journal de Montréal | Charlotte R. Castilloux | 26 mai 2017
La dernière année de l’AMT se clôt en beauté, alors que ses trains ont été les plus ponctuels en Amérique du Nord et qu’elle a enregistré une hausse de sa clientèle. L’année 2016 marque un achalandage record avec 21,1 millions de déplacements pour l’ensemble du réseau (trains et bus) de l’Agence métropolitaine de transport (ATM). À lui seul, le service de train de banlieue a connu une augmentation de 3,6 %, avec un total de 19,5 millions de transports. La seule ligne d’autobus gérée par l’ATM, l’express Chevrier 90, liant le centre-ville de Montréal à la ville de Brossard, a aussi engendré une augmentation de 5 %. Avec un taux de ponctualité à 96,3 %, «l’AMT enregistre le meilleur taux de ponctualité en Amérique du Nord parmi les exploitants de trains de banlieue de sa catégorie», peut-on lire dans le rapport annuel 2016 de l’organisation. Depuis 2009, il s’agit de la troisième fois où l’Agence se classe première. C’est en 2014 et 2011 les dernières fois où elle occupait cette position.
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AUTOPARTAGE: Communauto attend la réponse de l’arrondissement: Les voitures en libre-service, c’est pour bientôt?
Le Journal des voisins | Julien Gauthier-Mongeon | 25 mai 2017
L’entreprise Communauto a récemment manifesté son intérêt auprès de l’arrondissement pour implanter des véhicules en libre-service (VLS) sur le territoire d’Ahuntsic-Cartierville. Une rencontre s’est tenue en mars dernier pour présenter la faisabilité d’un tel projet. L’implantation de voitures en libre-service dans notre arrondissement doit d’abord passer par l’approbation des élus locaux. Comme journaldesvoisins.com l’a relaté en avril dernier, plusieurs citoyens ont déjà manifesté leur intérêt pour une telle initiative dans une pétition lancée en avril dernier. Rencontré par journaldesvoisins.com, Communauto estime avoir fait le nécessaire auprès de l’arrondissement qui doit maintenant décider de la suite des choses. «Pour que les véhicules en libre service soient autorisés dans l’arrondissement, il faut qu’il y ait un règlement qui soit adopté. C’est maintenant à l’arrondissement de décider », affirme Brigitte Geoffrey, conseillère relations publiques de Communauto pour le service Auto-mobile. Il s’agit d’autoriser les vignettes universelles sur le territoire de l’arrondissement pour que les véhicules en libre-service puissent se garer sur des places de stationnement publiques. Actuellement, ils ne sont autorisés à le faire que sur des terrains privés, freinant ainsi leur expansion. « Tous nos véhicules sont munis d’une vignette universelle. Il revient maintenant à l’arrondissement de se manifester à la Ville-Centre et de dire qu’il reconnaît cette vignette sur son territoire », explique Mme Geoffrey.
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AUTOPARTAGE: Le centre-ville ouvert aux autos électriques en libre-service
Journal Métro | Mathias Marchal | 31 mai 2017
La Ville de Montréal a annoncé mercredi avoir libéré 115 places de stationnement sur rue uniquement pour les autos électriques en libre-service. Les clients d’AutoMobile qui ont opté pour un véhicule électrique pourront garer leur auto dans l’un des 115 emplacements du centre-ville surplombés d’un panneau comprenant le signe 405. Les modèles hybrides ne sont pas admissibles. Grâce à l’application mobile, ils sauront à distance si une place de stationnement est occupée, chaque véhicule électrique étant équipé d’un GPS. La seule mauvaise surprise pourrait venir du fait que les places réservées uniquement aux véhicules électriques ne soient occupées par des véhicules en infraction. Pour l’entreprise Communauto, qui offre le service AutoMobile, il s’agit d’une bonne nouvelle. «Avec l’ajout de 85 autos électriques à notre flotte, on est désormais les premiers au Canada et les seconds en Amérique-du-Nord en matière d’électrification», a souligné Marco Viviani, porte-parole de Communauto.
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VÉLO: 375 nouveaux BIXI thématiques
Le Devoir | 29 mai 2017
BIXI Montréal a dévoilé 375 éditions spéciales de sa gamme de vélos, dimanche. Dans le cadre du 375e de Montréal, la compagnie avait lancé l’année dernière le concours Montréal, BIXI Moi, qui proposait aux citoyens de créer un vélo en fonction de leur regard sur la métropole. Les projets retenus circuleront désormais à travers tout Montréal. PBSC, qui a racheté le volet international de BIXI, en a profité pour remettre le 50 000e vélo à BIXI Montréal, qui a vu naître le projet de vélopartage.
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VÉLO: Journée la plus achalandée de toute l’histoire de Bixi : Près de 40 000 déplacements effectués en 24 heures!
Bixi | 29 mai 2017
Lundi 29 mai 2017 – Un record de tous les temps a marqué l’histoire de BIXI le dimanche 28 mai, alors que plus de 39 520 déplacements ont été effectués en 24 heures par les utilisateurs du service de vélo- partage montréalais. Cette journée, qui coïncidait avec le premier Dimanche BIXI Gratuit offert par Manuvie de la saison 2017, était également celle du dévoilement des 375 BIXI de la Collection 375e Anniversaire, conçus dans le cadre du projet « Montréal, BIXI & Moi ». « BIXI MONTRÉAL est extrêmement fier d’avoir atteint un nouveau record hier, avec plus de 39 520 déplacements effectués. Nous avons débuté la saison 2017 avec un réseau élargi et encore plus accessible : les Montréalais et visiteurs bénéficient ainsi de 1 000 vélos et 80 stations de plus que l’an dernier. Malgré la pluie, les mois d’avril et mai ont été très achalandés. En ce 375e anniversaire de la ville, nous sommes confiants que les différentes initiatives de BIXI et de notre partenaire présentateur, Manuvie, feront découvrir le service à un plus grand nombre de citoyens et continueront de promouvoir le transport actif auprès de la population », souligne M. Christian Vermette, directeur général de BIXI MONTRÉAL.
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VÉLO: Montréal se passera du BIXI électrique
BixiLe Devoir | Anabelle Caillou | 29 mai 2017
Un nouveau modèle de vélo en libre-service sera disponible en 2018, mais la métropole ne compte pas l’acquérir. Devant l’engouement grandissant pour le vélo électrique à travers le monde, l’entreprise PBSC, qui a racheté le volet international de BIXI, lancera dès cet automne un projet pilote dans deux de ses villes partenaires. Début 2018, les villes intéressées pourront ainsi proposer à leurs citoyens d’essayer son nouveau modèle en libre-service. Mais Montréal n’envisage pas d’en faire partie. Les Montréalais peuvent abandonner l’idée de bénéficier d’un petit coup de pouce technologique pour monter plus rapidement la côte Berri, ou gravir le mont Royal sans perdre haleine, sur leur BIXI. Pourtant le vélo à assistance électrique (VAE) intéresse de plus en plus les producteurs et les compagnies de vélopartage.
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VÉLO: Pas encore d’aménagement paysager près de la voie du CN
Le Journal des voisins | Évelyne Auger | 1er juin 2017
… le lobby de transport actif Ahuncycle rappelait à l’élu que ses membres avaient demandé à l’arrondissement, à deux reprises depuis novembre 2015, de prévoir la mise en place d’une piste multifonctions le long de la voie du CN sur l’emprise d’Hydro-Québec pour que cyclistes et piétons puissent se déplacer d’est en ouest, à cette hauteur. Selon le responsable des relations avec le milieu d’Hydro-Québec, Jean-François Gagné, contacté par un des porte-paroles d’Ahuncycle, Frédéric Bataille, ce genre de piste multifonctions serait tout à fait réalisable dans le cadre d’une ligne de cette puissance. Ahuncyle a également souligné que les deux suggestions de piste qu’il a soumis permettraient la circulation piétonne et cyclable jusqu’au métro Sauvé, à la gare Sauvé, au nouveau grand parc situé sur la rue Papineau, au secteur entourant le cégep Ahuntsic ainsi que vers le quartier Chabanel. Une idée que l’élu du district de Saint-Sulpice considère «intéressante» et ayant «beaucoup de mérite», et qui devrait même être fortement considérée par la Ville de Montréal selon lui.
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Verdissement
Nos pages sur les ruelles vertes et la canopée urbaine dans Ahuntsic-Cartierville.
Jardinage: récolter ce que l’on sème
La Presse | Danielle Bonneau | 29 mai 2017
Manger mieux et savourer des légumes vraiment frais n’est pas si compliqué, constate un nombre grandissant de jardiniers amateurs, qui prennent plaisir à mettre les mains dans la terre et à planifier leurs futures récoltes. Pour le bien de tous. Martin Desmarais habite à distance de marche du marché Jean-Talon. Il pourrait s’en contenter pour savourer une grande variété d’aliments frais. Mais sa volonté de mieux comprendre d’où vient la nourriture et d’être plus conscient de ce qu’il met dans son assiette et dans celles des membres de sa famille l’amène à explorer de nouvelles avenues. Tout a commencé lorsque, ayant soif de lumière, il a décidé de jardiner sur le toit de son triplex, dans Rosemont-La Petite-Patrie, au printemps 2013. Il s’est attelé à la tâche avec sa conjointe, Geneviève Malo. Les 12 bacs du début sont passés à 18, puis à 40, placés à des endroits stratégiques pour ne pas affecter la structure du toit.
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Électrification des transports
Auto électrique: Ottawa cherche une stratégie nationale
Le Devoir | Alexandre Shields | 26 mai 2017
Le gouvernement Trudeau promet d’élaborer d’ici 2018 une « stratégie nationale » pour augmenter le nombre de véhicules zéro émission sur les routes du pays. Il y a d’ailleurs urgence d’agir dans ce domaine, selon le groupe Équiterre, qui siégera au comité consultatif fédéral annoncé vendredi. Même s’il ne fixe pas pour le moment d’objectif précis à atteindre en matière de « transition » dans le secteur des transports, le gouvernement Trudeau estime que ce virage offre « un potentiel de réduction importante » des émissions de gaz à effet de serre provenant des véhicules légers. Il faut dire que le secteur des transports est responsable à lui seul de 24 % des émissions de gaz à effet de serre du Canada. C’est d’ailleurs le deuxième émetteur, tout juste derrière le secteur pétrolier et gazier, avec 25 % des émissions. Ottawa promet donc d’agir pour augmenter la part des « véhicules zéro émission » sur les routes, essentiellement les véhicules électriques à batterie et les hybrides rechargeables. Le communiqué du ministre
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Électrifier tous les taxis du Québec d’ici 8 ans, est-ce possible?
Ici Radio-Canada | Alexandre Duval | 27 mai 2017
Une petite voiture électrique conçue en Chine pourrait bientôt faire son apparition sur les routes du Québec. Un entrepreneur s’est donné une mission ambitieuse : convertir toute l’industrie du taxi de la province à l’énergie électrique d’ici huit ans. Pour ce faire, il mise sur le modèle e6 de la compagnie BYD. La BYD e6 est encore méconnue au pays ; elle est toujours en processus d’homologation par Transports Canada. Cependant, ailleurs dans le monde, elle roule dans plus de 50 villes réparties sur 5 continents. Depuis un an, l’homme d’affaires québécois Yung Cuong est en discussion avec la compagnie. Comme la BYD e6 possède une autonomie d’environ 400 kilomètres, il est convaincu que les chauffeurs de taxi oseront tourner le dos aux véhicules à essence. « Chaque véhicule de taxi consomme, bon an, mal an, à peu près 10 000 à 12 000 litres [d’essence] par année. Si on est capable de réduire […] la consommation de ces véhicules-là, ça fait beaucoup de volume », dit l’entrepreneur.
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Des véhicules électriques pour tous les goûts
La Presse | Alain McKenna | 31 mai 2017
Le week-end dernier avait lieu à la Place Bonaventure une exposition invitant les Montréalais à venir voir de plus près les véhicules électriques qu’on peut se procurer en 2017. Peu de nouveautés, mais des véhicules électriques pour tous les goûts. Des vélos de ville aux monte-charge en passant par un bateau de wakeboard, voici les modèles qui ont marqué l’événement.
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HYDRAUCARBURES
Énergie Est
Énergie Est est un projet de pipeline de la compagnie TransCanada qui transportera 1,1 millions de barils de pétrole issu des sables bitumineux de l’ouest canadien vers les marchés étrangers tout en mettant en péril notre eau portable. Pour plus de détails.
Le Canada pressé de transformer ses vastes ressources d’énergie renouvelable en moteur économique
Institut Hydro-Québeec en environnement, développement et société | 29 mai 2017
Selon un nouveau rapport cosigné par 71 chercheurs universitaires du réseau Dialogues pour un Canada vert, la baisse de la demande de combustibles fossiles au cours des décennies à venir pourrait diminuer considérablement les investissements de l’étranger dans le secteur pétrolier et gazier, qui serait dès lors moins porteur et plus risqué. Actuellement pays producteur de pétrole, le Canada devrait opérer un virage et s’employer à devenir un chef de file en énergies renouvelables dans le monde.
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Les peuples autochtones ne laisseront jamais passer Énergie Est
Le Devoir | Tania Larivière – L’auteure, Anishinabegkwe, est représentante jeunesse pour Femmes autochtones du Québec | 30 mai 2017
Les lunes ont passé. Les peuples autochtones sont désormais aux prises avec une pléthore de luttes qui les opposent à d’authentiques géants, dignes des légendes transmises par la voix de leurs ancêtres. Mais l’épopée moderne ne concerne en rien les créatures mythiques de l’Ancien Monde ; elle raconte plutôt l’histoire des militants et des militantes qui, dans un élan d’autodétermination, crient haut et fort les revendications de tous les peuples qui partagent désormais la grande île de la Tortue. Ici, au Québec, c’est au projet d’oléoduc Énergie Est, proposé par la société pétrolière albertaine TransCanada, que les peuples autochtones font maintenant face. L’Assemblée des Premières Nations du Québec et du Labrador s’y oppose catégoriquement, estimant que les dangers que pose ce projet pour l’environnement sont inacceptables et que cela prime les faibles retombées économiques potentielles pour leurs communautés. Ce cas illustrant bien la difficulté de concilier le développement et la préservation de l’intégrité du territoire, ils ont préféré adopter une position en faveur de cette dernière.
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TransCanada critique l’Office national de l’énergie
Le Devoir | Alexandre Sheilds | 31 mai 2017
TransCanada critique la décision de l’Office national de l’énergie de tenir compte des émissions de gaz à effet de serre dans l’évaluation fédérale du projet de pipeline Énergie Est, qui transporterait chaque année 400 millions de barils de pétrole des sables bitumineux. Après avoir relancé le processus d’examen du projet de la pétrolière albertaine, l’Office national de l’énergie (ONE) a annoncé récemment qu’il pourrait tenir compte des émissions de gaz à effet de serre (GES) de la production pétrolière qui circulera dans le pipeline Énergie Est. L’organisme pourrait aussi prendre en considération les politiques climatiques du gouvernement fédéral et des provinces dans son examen du projet. Or, ce changement de cap déplaît visiblement à TransCanada. Dans une lettre transmise uniquement en anglais à l’ONE, l’entreprise affirme que l’évaluation des émissions de gaz à effet de serre par l’organisme fédéral chargé d’évaluer son projet de pipeline « serait complètement redondante et inutile ».
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Un nouveau rapport souligne l’incapacité de TransCanada à expliquer comment l’oléoduc Énergie Est franchirait d’importants cours d’eau canadiens
Équiterre | 1er juin 2017
Montréal et Toronto, 1er juin 2017 — Alors que le nouveau comité de l’Office national de l’énergie (ONÉ) chargé d’examiner le projet d’oléoduc Énergie Est de TransCanada entame son mandat, un nouveau rapport publié conjointement par Environmental Defence, Équiterre, et la Manitoba Energy Justice Coalition met en garde contre le fait que la demande déposée par l’entreprise omet de l’information essentielle quant à la localisation exacte des traversées sur la rivière des Outaouais, le fleuve Saint-Laurent et la rivière Assiniboine, de même qu’aux méthodes employées pour aménager celles-ci. Sans cette information essentielle, la demande déposée par TransCanada est incomplète, et conséquemment, le processus d’examen à l’ONÉ ne peut tout simplement pas commencer. Les auteurs du rapport indiquent que l’ONÉ devrait ajourner le processus d’examen du projet Énergie Est, par ailleurs déjà entaché par un scandale, jusqu’à ce que le gouvernement fédéral ait terminé le processus de modernisation en cours de cet organe réglementant les oléoducs. S’il est impossible d’ajourner les audiences, la demande de TransCanada ne peut être jugée complète tant que l’entreprise n’aura pas fourni l’information cruciale sur le franchissement de ces importants cours d’eau, et comblé nombre d’autres lacunes informationnelles.
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Les préfets et les préfètes des MRC s’opposent vivement au passage de l’Oléoduc Énergie Est
Québec municipal | FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DES MUNICIPALITÉS | 31 mai 2017
Les préfets et les préfètes, dont le territoire se trouve sur le chemin de passage prévu pour l’Oléoduc Énergie Est de Transcanada, profiteront de l’Assemblée pour se réunir et prendre position sur cet épineux dossier dans le cadre de la réforme de l’Office national de l’Énergie (ONÉ). En effet, les impacts du passage d’Énergie Est, déjà majeurs en ce qui a trait à l’environnement et la fiscalité, se répercuteront aussi sur les schémas de couverture de risque en sécurité incendie qui relèvent directement des MRC, entraînant des coûts démesurés en plus de menacer l’approvisionnement en eau potable de centaines de municipalités. D’ailleurs, le groupe d’experts mandaté par le gouvernement fédéral vient de remettre un rapport dans lequel ils proposent de remplacer l’ONÉ par une Commission canadienne sur le transport de l’énergie, entièrement indépendante. « Les préfets et les préfètes des MRC n’ont aucune confiance dans le processus de consultation entamé par l’ONÉ et s’opposent vivement au passage de l’Oléoduc Énergie Est. Le ministre Carr doit absolument mettre en œuvre les recommandations du comité et reprendre le processus avec une véritable commission indépendante. Sans un processus transparent et entièrement indépendant, aucune acceptabilité sociale ne sera possible », a poursuivi le président de la FQM.
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Énergie Est: Sensibiliser le public sur une catastrophe annoncée
Viva media | Stéphane Fortier | 31 mai 2017
Le mouvement Les Citoyens au courant de Vaudreuil-Soulanges n’a pas l’intention de baisser les bras dans le dossier des hydrocarbures et entend continuer à lutter contre le projet d’Énergie Est. D’ailleurs, depuis quelques années, les membres du groupe n’ont de cesse de rencontrer le public par le biais de rencontres d’information, appuyées par des experts en environnement ou en économie. « Il n’y a pas d’informations et de consultations suffisantes destinées à la population », déplore Katherine Massam qui croit qu’ainsi, l’existence d’un groupe comme Les Citoyens au courant est pleinement justifiée. « Actuellement, les citoyens doivent savoir qu’il y a déjà deux pipelines et deux gazoducs qui passent sur le territoire sans oublier les trains qui transportent le pétrole. Ici, c’est un véritable carrefour du transport des hydrocarbures », mentionne Marc-Antoine Benoît qui ajoute que le projet d’Énergie Est s’avère beaucoup plus important.
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Parti conservateur: Andrew Scheer croit pouvoir séduire le Québec
Le Devoir | Marie Vastel | 31 mai 2017
Le nouveau chef du Parti conservateur, Andrew Scheer, doit beaucoup au Québec, dont les agriculteurs ont contribué en grande partie à sa victoire samedi soir. Mais l’héritage politique de ce conservateur pro-vie issu de la frange sociale du parti pourrait aussi lui nuire dans la Belle Province, s’inquiètent certains en coulisses. Le politicien de Saskatchewan tente tant bien que mal d’écarter ses convictions personnelles de son avenir politique. « Oui, j’ai mes propres positions. Mais comme chef, je vais me concentrer sur les enjeux qui vont maintenir l’unité de notre parti et de notre mouvement », affirmait-il en entrevue dimanche, au lendemain de sa victoire-surprise au tout dernier tour de scrutin de la course à la chefferie conservatrice. Andrew Scheer promet par ailleurs d’autoriser la construction de l’oléoduc Énergie Est — ce qui convient très bien aux élus québécois — et de ressusciter quelques mesures de loi et d’ordre du gouvernement Harper.
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Thunder Bay: Council supports proposed Energy East pipeline
The News Watch | Mat Vis | 30 mai 2017
THUNDER BAY – City council is adding its voice of support to the controversial Energy East project, settling a nearly two-year debate over the city’s official position on the divisive proposed pipeline conversion. After three hours of debate Monday night council voted in favour of a motion calling on the National Energy Board to green light the TransCanada Pipelines project, with many expressing significant concern about the alternative of transporting oil on rail cars. The motion, introduced by Coun. Iain Angus, noted there were 28 communities with a total population of more than 165,000 people living immediately adjacent to or are divided by either CN or CP rail lines in Northwestern Ontario. Angus asked council to consider a scenario where an incident– potentially in the CP yard in close proximity to the East End neighbourhood – such as the deadly derailment and subsequent explosions in Lac Megantic, Que. in 2013 were to happen within the city. “My prime purpose in wanting to see this pipeline converted is for the safety of our residents,” Angus said. Note du MEAC: Face à ce débat « Train ou pipeline? », le MEAC se positionne en proposant une troisième voie: « Et si on abandonnait les énergies fossiles? »
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Everything you wanted to know but were afraid to ask about the NEB hearings: What’s all this Energy East business about?
CBC | Jacques Poitras | 27 mai 2017
It’s the same process. But different. Federal Natural Resources Minister Jim Carr was in New Brunswick on Friday and found himself defending the National Energy Board’s review of the controversial Energy East project. The process has changed and adapted in four important ways — yet technically is still following the rules put in place by the Conservative government of Stephen Harper. Carr told CBC’s Information Morning Fredericton that while the Trudeau government plans to overhaul those rules, it wouldn’t be right to force TransCanada Corp. to wait to reboot its application under a new process.
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Fracturation hydraulique
Pour un survol des enjeux de la fracturation hydraulique.
Squatex planifie de nouveaux travaux de forage dans La Mitis
L’avantage | Sonia Lévesque | 31 mai 2017
EXPLORATION. La compagnie d’exploitation pétrolière et gazière, Ressources et Énergie Squatex, planifie des travaux de forage dans les secteurs de Sainte-Jeanne-D’Arc et de La Rédemption, d’ici les prochains mois. « Il nous faut obtenir auparavant les nouveaux règlements gouvernementaux (projet de loi 106) avant de pouvoir aller de l’avant, ce qui devrait arriver à la fin juin. Par la suite, on rencontrera la MRC et les municipalités pour leur faire part de nos travaux » précise Mario Lévesque, directeur du développement des affaires chez Ressources et énergie Squatex.
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Des écologistes militent devant la chambre de commerce de Gaspé
Radio Gaspésie | Sonia Landry | 1er juin 2017
Une douzaine de membres du comité Ensemble pour l’avenir durable du Grand Gaspé a fait un « sit in » ce matin, devant les bureaux de la Chambre de commerce et de tourisme de Gaspé. Cette activité médiatique, qui a duré une quinzaine de minutes, avait pour objectif d’interpeller 2 personnes concernant le développement des hydrocarbures et plus particulière le forage à Haldimand. D’abord, la porte-parole du comité, Lise Chartrand, demande au président de la chambre de commerce, Frédéric Côté, de contacter le ministre de l’Énergie et des Ressources naturelles, Pierre Arcand.
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IRELANDE: Dáil passes bill to ban fracking on Irish land
The Times | Ellen Coyne | 1er juin 2017
Ireland looks set to become the fourth EU country to ban onshore fracking after a bill passed the Dáil yesterday. The bill, which must be accepted by the Seanad before it becomes law, received unanimous cross-party support last year. The legislation would ban energy companies from fracking, which involves using high-pressure water and chemicals to extract raw fuels from rocks, sands and coal seams on land. It is expected to be passed before the summer break. A bid to end offshore fracking has not proved successful after three amendments proposing a ban were defeated.
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Désinvestissement et subventions aux hydrocarbures
Mobilisation environnement Ahuntsic-Cartierville croit que les investissements privés et publics dans le secteur des hydrocarbures devraient être retirés et réinvestis dans des secteurs plus profitables à l’ensemble de la société. Pour plus de détails, voir notre page sur le désinvestissement.
New York City Begins Divestment from Wells Fargo
Last Real Indians | Wakíƞyaƞ Waánataƞ |31 mai 2017
NEW YORK — New York City Mayor Bill de Blasio and Comptroller Scott M. Stringer jointly announced today that they will vote to prohibit New York City from entering into new contracts for deposits with Wells Fargo, as well as suspend the bank’s role as a senior book-running manager for NYC General Obligation and Transactional Finance Authority bond sales. The New York City Banking Commission, which is scheduled to meet today, and of which the Mayor and the Comptroller are members, approves and oversees the banks that hold City deposits. Currently, Wells Fargo holds contracts with the City to provide banking services, including to operate “Lock Box” services that hold taxes and fees collected by the City. There is approximately $227 million of City dollars held in Wells Fargo accounts currently. Additionally, Wells Fargo acts as a trustee to the New York City Retiree Health Benefits Trust, which has current assets of approximately $2.6 billion. Recently, Wells Fargo received a Federal Community Reinvestment Act (CRA) rating of “needs improvement.” The ban will be revisited only when the bank’s rating is raised… In February, Mayor de Blasio sent a letter to 17-banks and financial institutions urging an immediate withdrawal of financing for the Dakota Access Pipeline. “The people of Standing Rock should not be threatened by the greed of a few wealthy oil industry executives,” said Mayor Bill de Blasio. “The Dakota Access Pipeline not only poses a threat to our environment, but to the human, tribal and water rights of the entire Standing Rock Reservation. We deplore allowing our pension funds to run the risks of being associated with such a dangerous and misguided project.”
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Earth Matters: The Divestment Debate
Nyack News and Views | Susan Hellauer |27 mai 2017
Divestment. It’s the opposite of investment, and it’s not just a financial strategy. It’s been an essential part of the activist’s toolkit since a 1980s student movement pressured college and university endowments to rid themselves of assets connected with the racist government in South Africa. And it worked. The movement galvanized people across the globe, and the apartheid regime became a political pariah. Now, fossil fuel opponents are leading a growing divestment movement, born on college campuses in 2012, asking institutions and individuals to rid themselves of investments in an industry that, in their view, is the main contributor to harmful climate change. Fossil fuel divestment raises plenty of questions, and Earth Matters posed some of them to two local environmental organizations. Here are their answers, prepared for you by the leadership of the Rockland Sierra Club and 350.org NJ-Rockland.
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CLIMAT
La chaleur en ville pourrait grimper de huit degrés d’ici 2100
Le Devoir | Agence France-Presse | 30 mai 2017
Paris — Sous l’effet du réchauffement mondial et du phénomène des « îlots de chaleur urbains », les grandes villes pourraient gagner 7 °C supplémentaires, voire 8 °C, d’ici 2100, selon une étude parue lundi. Ces projections se basent sur le scénario d’une croissance continue des émissions de gaz à effet de serre tout au long du siècle. Quelque 5 °C seraient à attribuer au réchauffement mondial, le reste venant des « îlots de chaleur urbains » générés par la disparition de la verdure au profit du béton et de l’asphalte, souligne l’étude parue dans Nature Climate Change. Ce sont ces « îlots » qui rendent les villes plus chaudes que leurs abords et y accentuent encore canicules et vagues de chaleur, avec à la clé plus d’énergie dépensée pour refroidir les bâtiments, plus de risques sanitaires, d’inconfort, un air plus pollué, une moindre qualité de l’eau et moins de productivité au travail. Les 5 % de villes les plus peuplées « pourraient voir des hausses de températures de 8 °C et plus, » a indiqué à l’AFP Francisco Estrada, de l’Institut d’études environnementales (Pays-Bas), coauteur de ces recherches.
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Dérèglement du climat: des signes toujours plus alarmants
La Presse | Catherine Hours – Agence France-Presse | 1er juin 2017
Hausse des températures, de la concentration en CO2, montée des eaux, recul des glaces: les indicateurs clé du réchauffement planétaire témoignent de l’urgence à agir, alors que Donald Trump doit annoncer jeudi sa décision sur le retrait ou non des États-Unis à l’accord climat de Paris.
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Émissions de méthane: Ottawa fixe une cible ambitieuse, la mise en place du plan complet est cependant reportée à 2023
Le Devoir | Alexandre Sheilds | 26 mai 2017
Le gouvernement Trudeau a annoncé jeudi les détails de son plan de réduction des émissions de méthane de l’industrie pétrolière et gazière. Ottawa, qui accumule les retards en matière de lutte contre les changements climatiques, confirme ainsi que le fédéral reporte à 2023 la mise en oeuvre de certaines mesures majeures pour réduire ce puissant gaz à effet de serre. Selon ce qu’a fait valoir la ministre de l’Environnement et du Changement climatique, Catherine McKenna, le gouvernement fédéral a bon espoir de parvenir à réduire les émissions de méthane de 40 % à 45 % d’ici 2025. Une telle mesure doit permettre de diminuer les émissions annuelles de gaz à effet de serre (GES) du Canada de 20 millions de tonnes, soit l’équivalent d’environ quatre millions de véhicules. Pour atteindre cet objectif, Ottawa a prévu d’imposer différentes mesures à l’industrie pétrolière et gazière, qui compte pour 44 % des émissions canadiennes de méthane, soit 48 millions de tonnes par année. Au total, le méthane compte pour 15 % des émissions de GES au pays.
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JE PASSE À L’ACTION!
Parce que vous pouvez faire la différence! D’autres moyen de passer à l’action pour protéger le climat par ici!
Signez le pacte de résistance du Regroupement vigilance hydrocarbures Québec (RVHQ)
Pacte de résistance
Il est urgent que le Québec et le Canada tournent la page sur les énergies du passé, sources de gaz à effet de serre et de dérèglements climatiques. En conséquence de ce qui précède, j’avise les gouvernements du Québec et du Canada ainsi que les compagnies, leurs représentants et toute autre partie intéressée que je n’autorise personne à pénétrer dans mon milieu de vie, sur mon territoire, ni au Québec afin de mener des travaux en lien avec un projet pétrolier ou gazier.
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Faites un don pour la campagne #VousNEpasserezPAS du RVHQ
Faire un don unique
Merci de soutenir l’opération #VousNEpasserezPAS du Regroupement vigilance hydrocarbures Québec (RVHQ). Le RVHQ réunit plus d’une centaine de groupes citoyens actifs sur l’ensemble du territoire québécois. Votre don servira à financer les actions de groupes citoyens qui résistent au développement de la filière pétrolière et gazière au Québec, et à soutenir l’accélération de la transition vers un monde durable. Il nous aidera à faire résonner la voix citoyenne en cette période où se prennent des décisions qui engagent le Québec, le Canada et la planète pour de nombreuses décennies.
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NOTRE PROPRE PÉTITION : Aménagez plus de pistes cyclables dans Ahuntsic-Cartierville
Mobilisation environnement Ahuntsic-Cartierville
Nous demandons à ce que l’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville et la ville de Montréal:
1) aménagent rapidement les pistes cyclables projetées depuis le plan de transport de 2008;
2) intègrent à leur planification les pistes cyclables proposés par Mobilisation Environnement Ahutnsic-Cartierville sur les rues Sauriol, Gouin, Georges-Baril et Garnier;
3) proposent de nouveaux axes cyclables.
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2 Juin 2017 – Symposium canadien sur la transition socioécologique / Canadian Symposium on Sustainability Transitions
UQAM, Complexe des sciences Pierre Dansereau | 2 juin 2017, 8h-17h
L’Accord de Paris qui prendra effet en 2020 avec l’objectif d’un monde carbo-neutre pour 2050 (UNFCCC, 2015) a été célébré comme une avancée historique. Pour les économies extractivistes et reposant sur les énergies fossiles comme le Canada, la transition vers une économie carbo-neutre en 2050 demeure un défi distant. En rassemblant les expertises de chercheurs et de professeurs provenant de partout au pays et impliqués dans le champs de la transition socioécologique et de la durabilité en général, le Symposium canadien sur la transition socioécologique 2017 vise à générer le nécessaire dialogue sur la manière et l’opportunité de faire advenir la transition vers une économie carbo-neutre, à analyser les implications et à comprendre comment des méthodes de recherche innovantes peuvent influencer les transitions socioécologiques au Canada.
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