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QUARTIERS VERTS
Transports actifs et collectifs
Nos pages sur les transports actifs et les transports collectifs dans Ahuntsic-Cartierville.
TRANSPORTS COLLECTIFS: Rouvrir le débat sur le prix du transport dans la région de Montréal
Le Devoir | Annabelle Caillou | 15 mai 2017
À l’approche de la mise en place de l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM), qui sera chargée de déterminer les prix des transports collectifs dans le Grand Montréal, 17 organismes interpellent la nouvelle gouvernance afin qu’elle envisage l’instauration d’un tarif social ou la gratuité pour certaines catégories de personnes. Le 1er juin prochain, l’ARTM remplacera officiellement l’Agence métropolitaine de transport, qui regroupe les sociétés de transport de Montréal, Laval et Longueuil. Dans le même temps sera créé le Réseau de transport métropolitain, qui gérera les réseaux de trains de banlieue et d’autobus dans les couronnes sud et nord. Si le comité de transition, présidé par Paul Côté, se penche sur la question tarifaire depuis plusieurs mois, il attend la formation du conseil d’administration par le gouvernement Couillard pour que son cadre tarifaire soit accepté. Dix-sept organismes profitent ainsi de ce flou administratif pour demander, dans une déclaration commune dévoilée lundi, une consultation publique sur la tarification du transport en commun, avant que tout ne soit coulé dans le béton. Ils demandent aussi que les tarifs soient gelés dans la prochaine année, le temps de sonder l’opinion sur le terrain.
TRANSPORTS COLLECTIFS: L’objectif de la mobilité intégrée
La Presse | Jean-Philippe Décarie | 15 mai 2017
C’est dans deux semaines que l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) prendra officiellement vie pour devenir la structure unique qui chapeautera les opérations, la planification et le financement de toutes les organisations de transport en commun de la grande région métropolitaine. Une réorganisation qui ne se fera pas sans les heurts prévisibles du choc des cultures. Avec l’entrée en service prochaine du Réseau électrique métropolitain (REM), le gouvernement québécois a jugé utile et nécessaire de simplifier et d’unifier l’offre de services des transports en commun dans la grande région de Montréal. La loi 76, adoptée en mai 2016, a prévu la mise sur pied d’un comité de transition en vue de l’implantation, à partir du 1er juin prochain, de l’ARTM, l’agence unique de supervision du transport collectif et de la simplification des structures avec la création du Réseau de transport métropolitain (RTM). Le RTM intégrera toutes les activités de transport des trains de banlieue de Montréal qui étaient jusqu’ici encadrées par l’Agence métropolitaine de transport (AMT). L’AMT sera dissoute au profit du RTM qui intégrera aussi les 15 sociétés de transport municipal qui supervisaient le transport par autobus vers la métropole de 82 municipalités des couronnes nord et sud de Montréal… Est-ce que l’ARTM va être en mesure de composer avec les impératifs de rentabilité exigés par la Caisse de dépôt et placement pour le déploiement et la gestion future du REM ? « Le gouvernement du Québec s’est engagé à absorber 85 % du déficit du REM. Pour la première année, on estime à 76 millions ce déficit. Ce qui veut dire que les municipalités de la Communauté métropolitaine de Montréal auraient à absorber 12 millions, ce qui est vivable », estime-t-il.
TRANSPORTS COLLECTIFS: Vers un projet-pilote de bus sans chauffeur
Le Devoir | Marco Fortier | 17 mai 2017
Ce serait une première au Québec. La Ville de Terrebonne souhaite déployer un minibus autonome, sans chauffeur, dans l’éco-quartier Urbanova, qui doit accueillir 35 000 résidants entre la rivière des Mille Îles et l’autoroute 640. Ce véhicule électrique amènerait les gens vers le terminus d’autobus qui dessert le quartier, explique le maire de Terrebonne, Stéphane Berthe. Il souhaite implanter un projet-pilote d’un an pour déterminer si ce type de minibus peut rouler au Québec. La Ville attend l’autorisation du ministère des Transports du Québec et de la Société de l’assurance automobile du Québec. « On va faire un projet-pilote constructif durant un an pour démontrer qu’on est capables d’avoir ce type de véhicule-là au Québec, dans des conditions hivernales aussi », dit Stéphane Berthe. Le maire a embarqué à bord d’une de ces navettes de conception française, mardi au centre-ville de Montréal. L’entreprise Navya a apporté à Montréal un exemplaire de ce bus autonome pour le sommet de l’Union internationale des transports publics, qui a lieu au Palais des congrès.
TRANSPORTS COLLECTIFS: Le Sommet mondial des transports publics à Montréal
Métro | Josiane Pelosse, La Presse canadienne | 14 mai 2017
Le public pourra, entre autres, faire l’essai d’autobus électriques autonomes, puisque différents fabricants présenteront leur navette qui roule sans volant, sans freins et sans pédale d’accélérateur. Pour le moment, le véhicule conduit seul, mais une présence humaine est nécessaire à l’intérieur advenait des «cas de figure» de sécurité que les logiciels n’auraient pas maîtrisés, a expliqué Dominique Lemay, chef de la direction chez Transdev Canada. Le président du conseil d’administration de la STM, Philippe Schnobb, s’est réjoui de pouvoir «mettre en valeur Montréal et son dynamisme en matière de mobilité», en vantant notamment l’arrivée des trains Azur et le prolongement de la ligne bleue du métro. Si ces projets améliorent le transport en commun, le président de l’organisme Transport 2000, François Pépin, trouve cependant que la planification manque de vision à long terme. «Pour l’instant, c’est une accumulation de projets sans direction très claire au chapitre d’où on veut être dans 10 ans, 20 ans ou 30 ans au niveau des transports en commun à Montréal», a-t-il dit. M. Pépin soulève aussi la nécessité d’ajouter des services comme des autobus et des voies réservées, puisque l’achalandage augmente quand l’offre de service est bonifiée.
TRANSPORTS COLLECTIFS: Tracé du futur trajet de la 55
Le Journal des voisins | Christianne Dupont | 18 mai 2017
DÈS LE 28 AOÜT. Comme journaldesvoisins.com le rapportait en primeur dans son édition du 11 mai dernier, l’autobus 55 en provenance du Vieux-Montréal que plusieurs personnes prenaient la nuit quand le métro n’était plus disponible et qui terminait sa course dans le quartier Chabanel, changera pour le mieux dès le 28 août prochain. Grâce à l’instigatrice de la pétition qui demandait depuis longtemps ce changement, Gabrielle Gagnon-Blache, journaldesvoisins.com a mis la mis sur le tracé du futur trajet de la ligne 55, fin prêt pour la rentrée scolaire automnale!
REM: REM, le bulldozer
Le Devoir | Henri Marineau | 15 mai 2017
À mon avis, il y a quelque chose d’antidémocratique dans le projet de loi 137, qui met un frein à toute contestation de la part des citoyens qui seront expropriés bon gré mal gré en raison de la construction du Réseau électrique métropolitain (REM). Une loi matraque qui s’apprête à exproprier plus de 200 propriétaires de résidences, d’entreprises ou de terrains. Néanmoins, il fallait entendre les ministres Lessard et Coiteux qualifier le REM de « projet de société » et, plus encore, de « notre baie James de XXIe siècle ». Difficile de croire qu’un « projet de société » puisse faire fi des doléances des citoyens touchés par un tel projet bulldozer, des citoyens faisant partie de cette même société dont se vantent les ministres des Transports et de la Sécurité publique. Le REM pourra probablement contribuer à décongestionner la circulation à Montréal. Toutefois, le gouvernement Couillard, fait preuve ici d’une attitude méprisante en clouant cavalièrement le bec aux citoyens touchés par un tel projet… Espérons qu’au moins ces propriétaires seront dédommagés comme il se doit pour une expropriation aussi irrespectueuse !
REM: Un argument de taille contre un projet immobilier
Le Devoir | Henri Marineau | 15 mai 2017
Les inondations dévastatrices de la semaine dernière servent d’argument aux opposants du projet Cap-Nature dans le secteur Pierrefonds-Ouest. Ils demandent un moratoire sur toute construction dans cet espace naturel le temps qu’une nouvelle carte des zones inondables soit produite par la Ville de Montréal. Le groupe citoyen Sauvons l’Anse-à-l’Orme veut que Montréal tire des leçons de la montée des eaux qui a fait plusieurs sinistrés, entres autres dans les arrondissements de Pierrefonds-Roxboro et Ahuntsic-Cartierville. Des membres du groupe ont constaté dans les derniers jours que plusieurs zones du secteur visé par Cap-Nature, un important projet immobilier de 5500 logements, étaient partiellement inondées… Le Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) et la coalition Trainsparence remettent également le projet en question, puisque son développement est lié au financement du Réseau électrique métropolitain, dont une gare est prévue à proximité. « De toute évidence, les terrains du projet Cap-Nature sont marécageux et sensibles aux inondations. Les changements climatiques vont augmenter la fréquence des inondations et aggraver leurs effets dans la région de Montréal. Est-ce qu’à l’instar du reste du projet de REM, le projet immobilier Cap-Nature est un éléphant blanc, un cas classique de développement douteux en milieu humide ? » soulève Mathieu Vick, conseiller syndical à la recherche au SCFP.
Une réduction de la vitesse envisagée partout dans l’île de Montréal
La Presse | Pierre-André Normandin | 12 mai 2017
Réduire la vitesse dans l’ensemble des rues et des boulevards de Montréal. Imposer une distance d’un mètre entre les véhicules et les piétons aux intersections. Exiger la pose de barres latérales sur les camions des fournisseurs de la Ville. Un groupe d’élus montréalais propose une trentaine de changements majeurs pour réduire le nombre de piétons et de cyclistes tués ou gravement blessés sur l’île. Tour d’horizon.
AUTOPARTAGE: Plus de 200 nouveaux véhicules pour Communauto
Le Journal de Montréal | Charlotte R. Castilloux | 12 mai 2017
Communauto annoncera aujourd’hui qu’il ajoutera 220 véhicules hybrides à sa flotte québécoise dont 75 se retrouveront dans les rues de Montréal avec le service Auto-mobile. Cet ajout important fera augmenter à près de 2000 le nombre de voitures disponibles dans la province, et ce, pour le service en station et celui de véhicules en libre-service (VLS). En plus de ces nouveaux VLS, Commauto ajoutera plusieurs secteurs de stationnement pour ses Auto-mobile. Si le secteur de Saint-Michel, dans Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension, s’ajoute officiellement, l’entreprise est en négociation avec les arrondissements d’Ahuntsic et de Saint-Laurent afin d’élargir son territoire.
AUTOPARTAGE: Nouveau rapport d’Équiterre : Les politiques municipales et provinciales entravent le développement de nouveaux services de mobilité partagée
Équiterre | 17 mai 2017
PRÉSENTÉ À LA CARSHARING ASSOCIATION CONFERENCE, 18-19 mai 2017 à Montréal: Selon la plupart des experts, le développement de services d’autopartage est crucial pour assurer le développement de systèmes de transport durable dans les villes. « Quelqu’un qui fait du vélo ou qui se déplace au travail par transport en commun peut avoir besoin d’une voiture pour effectuer d’autres types de déplacement. L’autopartage propose un service complémentaire pour une fin de semaine à l’extérieur, un voyage avec des bagages ou simplement lorsque le transport en commun n’est pas optimal. Lorsque ces services sont insuffisants, les gens finissent par acheter des voitures pour se déplacer », a expliqué M. Ribaux. Le rapport met en lumière les entraves majeures au développement des 5 catégories de services.
VÉLO: Les ateliers de vélo communautaires prennent de la vitesse
Le Devoir | Nadia Koromyslova |15 mai 2017
Par un soir de semaine, ça grouille dans le local de BQAM, atelier de réparation de vélo en libre-service situé au pavillon des sciences de l’UQAM. Des dérailleurs sont nettoyés, des chaînes grippées changées, des freins réglés. Au milieu des postes de travail, des bénévoles s’activent pour répondre aux questions et montrer aux usagers comment se servir des outils. Deux Gabriel se penchent sur un dérailleur. Le premier est bénévole, le deuxième vient pour la première fois. « Un nettoyage pour tes vitesses, ça ne ferait pas de mal », conseille Gabriel à son homonyme et lui montre les brosses spéciales à utiliser. Après avoir fréquenté l’atelier comme usager, il a reçu la proposition de devenir bénévole. Cela fait deux ans qu’il passe un soir par semaine les mains dans la graisse, dit-il en montrant ses mains noircies.
Verdissement
Nos pages sur les ruelles vertes et la canopée urbaine dans Ahuntsic-Cartierville.
Des arbres pour la Promenade Fleury
Facebook | La Promenade Fleury | 17 mai 2017
Photo de la plantation d’arbre sur la Promenade Fleury. À noter l’intervention éclair réalisée en moins de 20 minutes par les employés de l’Arrondissement Ahutnsic-Cartierville.
Électrification des transports
Un économiste estime que le marché du véhicule à essence se sera effondré dans 8 ans
Numerama | Nelly Lesage | 17 mai 2017
Un économiste de l’Université de Stanford s’est penché sur l’avenir de l’industrie automobile. Il prédit que le marché aura totalement changé dans quelques années : les humains ne conduiront plus, et la majorité des véhicules seront électriques. Les voitures, autobus et autres camions tournant à l’essence ou au diesel seront une espèce en voie de disparition dans huit ans. Voici en tout cas les prédictions de Tony Seba, économiste à l’Université de Stanford. Selon ses travaux, le marché des transports devrait donc logiquement évoluer vers une totale électrification, ce qui entrainera un effondrement des prix du pétrole et la disparition de l’industrie pétrolière que nous connaissons depuis un siècle.
HYDRAUCARBURES
Énergie Est
Énergie Est est un projet de pipeline de la compagnie TransCanada qui transportera 1,1 millions de barils de pétrole issu des sables bitumineux de l’ouest canadien vers les marchés étrangers tout en mettant en péril notre eau portable. Pour plus de détails.
Oléoduc d’Énergie Est : un comité de vigilance est formé au Témiscamingue
Ici Radio-Canada | Tanya Neveu | 16 mai 2017
Un comité de vigilance a été créé lundi en lien avec le projet d’oléoduc d’Énergie Est de Transcanada. Le Centre de femmes du Témiscamingue organisait une séance d’information publique sur le sujet à St-Bruno-de-Guigues en collaboration avec l’Association pour la préservation du lac Témiscamingue. Une dizaine de citoyens se sont manifestés pour siéger au comité de vigie qui souhaite s’assurer de bien renseigner la population du Témiscamingue sur le projet Énergie Est. Devant une trentaine de personnes, deux citoyens engagés ont exposé leurs inquiétudes. Une des préoccupations se situe au niveau du produit qui va circuler dans le pipeline déjà existant depuis 45 ans au Nord-est ontarien, explique Denis Carrier. « [L’oléoduc] a l’âge où il devrait être réparé et surtout pas transporter un produit qui demande plus de pression, corrosif en plus. En fait, un produit qui a 340 % plus de chance de risque de couler que si c’était du pétrole conventionnel », dit-il. Les autres inquiétudes soulevées lors de cette rencontre ont un lien direct sur les impacts possibles sur le lac Témiscamingue même si le pipeline est situé en Ontario. Pascal Bibeau s’intéresse au dossier depuis 3 ans. « Le lac est à risque, affirme-t-il. C’est notre économie, notre société au Témiscamingue et notre environnement qui est menacé donc c’est sûr que je me sens interpelé. Une catastrophe naturelle, elle les frontières géopolitiques, elle ne connaît pas ça. Le pétrole s’il fuit il n’arrêtera pas au milieu du lac parce qu’il tombe au Québec, il va traverser. » Le comité de vigie devrait tenir une première rencontre sous peu pour évaluer les actions à prendre au cours des prochaines semaines.
Opposition to pipeline is not obstructionist or working against the national interest
The Globe & Mail | Andrew Weaver, leader du Parti vert de Colombie-Britannique | 16 mai 2017
In the wake of last week’s B.C. election, there has been a flurry of news stories casting the result as a blow against the interests of Alberta and as evidence of dysfunction in the Canadian federation. In particular, some Alberta (and national) commentators have argued that, in opposing the construction of a new Kinder Morgan Trans Mountain pipeline from Edmonton to Vancouver, the BC Green and New Democratic parties present an obstructionist regional faction that could undermine national economic goals. The narrative is false, and is yet more evidence that the flawed, winner-take-all Canadian electoral system is more likely to inflame than resolve reasonable policy differences – within and among provinces. The May 9 British Columbia election resulted, for the time being, in a hung Legislature. The BC Liberals’ victory in 43 of 87 seats left them one short of a majority. The NDP claimed just two fewer seats, 41, leaving the BC Green Party holding the balance with a three-seat bloc. It’s possible, that a recount or the addition of late-counted absentee ballots will deliver the Liberals a 44th seat. But even that majority would be incredibly fragile.
Fracturation hydraulique
Pour un survol des enjeux de la fracturation hydraulique.
Google requested to label anti-fracking websites as ‘fake news’
Inhabitat | Amanda Froelich | 9 mai 2017
Following the results of the 2016 U.S. Presidential election, search engine website Google rewrote its engine algorithm to bury “fake news.” Fake news propaganda and conspiracy theories (such as “Pizzagate“) spread on Google, Facebook and other internet media companies was blamed for Hillary Clinton’s loss in the 2016 US presidential election, and the general spread of misinformation across the internet. Since then, the phrase “fake news” has become thrown around with wild abandon. And, members of the industry-funded Texans for Natural Gas are taking advantage of this distaste for “Fake News” by urging Google to include anti-fracking websites in its list of sources that lack integrity and accuracy. In an open letter to Google which was published on Monday, the group wrote, “We believe many of the most prominent anti-fracking websites have content that is misleading, false, or offensive – if not all three. As a result, we urge you to consider purging or demoting these websites from your algorithm, which in turn will encourage a more honest public discussion about hydraulic fracturing, and oil and natural gas development in general.” Bloomberg reported in April that due to immense pressure to eliminate fake news, or what the company calls “low-quality” content, Google raters now “assess search results — to flag web pages that host hoaxes, conspiracy theories and what the company calls ‘low-quality’ content.”
Pétrolia veut fusionner avec une entreprise de Calgary
Le Devoir | Alexandre Sheilds et La Presse canadienne | 16 mai 2017
L’entreprise québécoise Pétrolia devrait passer sous le contrôle de la société albertaine Pieridae Energy, qui se spécialise dans le développement de projets de gaz naturel liquéfié. Au terme du processus de fusion annoncé lundi, la nouvelle entité détiendra plusieurs permis d’exploration en Gaspésie. En vertu d’un accord conclu le 15 mai et qui doit être approuvé par les actionnaires de Pétrolia et de Pieridae, les deux entreprises devraient former une nouvelle structure sous le nom de Pieridae Energy Limited. La nouvelle entreprise maintiendra des bureaux à Calgary, à Québec et à Halifax. Le réel contrôle sera toutefois exercé depuis l’Alberta, puisque les actionnaires de Pieridae détiendront la majorité des actions de la nouvelle entité. Selon ce qu’a fait valoir Pétrolia par voie de communiqué, cette nouvelle entité sera surtout spécialisée dans la production et la distribution de gaz naturel liquéfié (GNL). Elle devrait permettre aux actionnaires de Pétrolia, dont Investissement Québec (13 % de l’actionnariat), de « participer à l’industrie du GNL à travers le développement d’une société énergétique pleinement intégrée et permettra une exploitation accélérée des propriétés de Pétrolia tout en offrant un marché à long terme pour toute production gazière »… Le directeur des affaires publiques de Pétrolia, Jean-François Belleau, a d’ailleurs indiqué lundi que la fusion avec Pieridae Energy devrait permettre à l’entreprise québécoise de « continuer le développement » de ses projets, dont le projet Bourque. Il a aussi précisé que l’entreprise entend conserver ses permis d’exploration pétrolière et gazière, qui recouvrent une bonne partie du territoire de la Gaspésie.
ALGÉRIE: L’Algérie abandonne le gaz de schiste pour les énergies renouvelables
Reporterre | M’hamed Rebah | 15 mai 2017
Le gouvernement algérien abandonne le gaz de schiste et donne sa priorité au développement des énergies renouvelables. Cela a été dit clairement par le ministre de l’Énergie, Noureddine Boutarfa, en marge d’une conférence animée, à la mi-avril, à l’École des hautes études commerciales de Koléa (près d’Alger) sur le programme national des énergies renouvelables. Sur l’option gaz de schiste, le ministre lève ainsi une incertitude alimentée par des déclarations officielles parfois contradictoires faisant suite aux manifestations du début de l’année 2015 à In Salah (dans le Sahara) où la population exigeait la fermeture d’un puits d’exploration foré, en juin 2012, dans le bassin d’Ahnet, et destiné à évaluer le potentiel pour vérifier si, vraiment, l’Algérie possède l’un des plus importants gisements de gaz de schiste dans le monde… À In Salah, la population a demandé et, visiblement, obtenu, un moratoire sur le gaz de schiste en attendant d’avoir des preuves sur leur absence de nocivité.
Inondations et puits abandonnés ne font pas bon ménage
Le Courrier Sud | Lettre ouverte de Serge Fortier | 16 mai 2017
LETTRE OUVERTE. Malgré les efforts du MERN à tenir secret l’état des puits d’hydrocarbures inactifs au Québec, en cette malheureuse période d’inondation, le chat sort du sac! On devrait plutôt dire: les hydrocarbures sortent de l’eau! De nombreux puits inactifs, abandonnés par l’industrie depuis longtemps ainsi que par le MERN qui préfère laisser mort le fait qu’un grand nombre de ceux-ci pollue l’environnement, se dévoilent au grand jour et ce, sans avoir recours à des détecteurs de métal, des GPS et à du creusage. Ne serait-ce que le seul avantage à ces inondations.
ANTICOSTI: Gilles Vigneault veut protéger l’île d’Anticosti avec les Innus
Ici Radio-Canada | 13 mai 2017
GILLES VIGNEAULT À JOEL LE BIGOT. « Il ne faut pas tuer la beauté exceptionnelle de l’île d’Anticosti », clame le poète Gilles Vigneault, qui se produira lors du spectacle En union avec les Innus, protégeons Anticosti. « Les Innus nous ont appris à protéger notre environnement, même si nous les avons peu écoutés, et avec eux il faut bloquer la voie aux pétrolières qui veulent envahir Anticosti ». « C’est un lieu très particulier du Québec et du monde, s’enthousiasme Gilles Vigneault. On y trouve des rivières absolument spectaculaires, et une faune et une flore que Marie-Victorin avait déjà identifiées comme étant uniques au monde. » La municipalité d’Anticosti a d’ailleurs officiellement dévoilé la candidature de l’île comme site du patrimoine mondial de l’UNESCO, en janvier dernier. Une dizaine d’experts en géologie, en paléontologie et en sciences de la Terre – originaires du Canada, mais aussi de pays comme les États-Unis, l’Allemagne, la France, le Danemark, la Russie et la Chine – soutiennent la candidature de l’île d’Anticosti, qui reçoit aussi l’appui de leaders autochtones de la région et des élus régionaux.
Office national de l’énergie
L’Office National de l’Énergie (ONÉ) qui responsable d’évaluer les impacts environnementaux du pipeline Énergie Est a cependant peu de crédibilité puisque ses membres sont en grande partie issus du monde des hydrocarbures. Nous suivrons donc le processus de modernisation de l’ONÉ qui est en cours ainsi que les actions des citoyens pour demander une réforme en profondeur du processus d’évaluation.
Le sabordage de l’ONE recommandé: L’organisme n’a plus la confiance des Canadiens, conclut un comité fédéral
Le Devoir | Alexandre Shields – Avec Marie Vastel | 16 mai 2017
L’Office national de l’énergie ne réussit pas le test de la confiance et de la crédibilité, conclut le comité d’experts mandaté par Ottawa pour recommander des solutions afin de moderniser l’organisme. Il propose donc de le démanteler et de le remplacer par une nouvelle structure, mais aussi de réformer l’examen de projets comme les pipelines. Le plus important d’entre eux, Énergie Est, sera pourtant évalué par l’Office, a réitéré lundi le gouvernement Trudeau. Dans son rapport intitulé Progresser, ensemble : favoriser l’avenir énergétique propre et sécuritaire du Canada et rendu public lundi, le comité d’experts sur la modernisation de l’Office national de l’énergie (ONE) souligne ainsi que les audiences menées au cours des derniers mois lui ont permis de constater que l’organisme fédéral n’est clairement plus en mesure de mener seul les examens des projets de transport d’énergie… Réagissant à la publication du rapport, le ministre des Ressources naturelles, Jim Carr, a souligné lundi que le gouvernement devrait préciser cet automne de quelle façon il entend moderniser l’ONE. Mais selon lui, le comité d’experts ne recommande pas de démanteler l’Office. Le ministre libéral a aussi réitéré que l’examen des projets en cours, dont celui du pipeline Énergie Est de TransCanada, se poursuivrait.
Énergie Est: pas d’enquête sur la rencontre avec Jean Charest
La Presse | Mylène Crête – La Presse Canadienne|17 mai 2017
L’Office national de l’énergie (ONÉ) n’enquêtera pas sur la rencontre privée entre Jean Charest et les ex-membres du comité chargé d’évaluer le controversé projet d’oléoduc Énergie Est. Les trois membres de ce comité avaient dû se récuser en septembre dernier alors que fusaient les allégations de conflit d’intérêts. Jean Charest était consultant pour TransCanada, le promoteur d’Énergie Est, lorsque ces commissaires chargés d’étudier ce projet l’ont rencontré en janvier 2015. Les organismes environnementaux Stratégies Énergétiques et l’Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique (AQLPA) avaient demandé à l’ONÉ de faire la lumière sur cette rencontre pour «identifier jusqu’à quel point l’intégrité de l’Office a été compromise». Ils avaient également exigé que l’ONÉ publie tout renseignement ou document entourant cette rencontre. Huit autres groupes environnementaux, dont Greenpeace, avaient appuyé leur demande. Dans une décision publiée mercredi, le nouveau comité chargé d’évaluer Énergie Est soutient qu’«il n’a pas le pouvoir d’ouvrir une enquête sur des événements passés» puisque son mandat se limite à l’étude du projet.
Déménager l’ONÉ à Ottawa serait «stupide», selon Rachel Notley
L’Actualité | La Presse Canadienne|16 mai 2017
EDMONTON — La première ministre de l’Alberta, Rachel Notley, a qualifié de «stupide» la proposition de déménager une partie des activités de l’Office national de l’énergie (ONÉ) à Ottawa. Un comité fédéral sur la modernisation de l’ONÉ a proposé de transférer à Ottawa le conseil d’administration, une nouvelle agence de statistiques sur l’énergie, le bureau gouvernemental de coordination et le personnel du secteur du transport d’électricité. Néanmoins, le comité a affirmé que le transfert de l’ensemble des activités de l’ONÉ, portant principalement sur les réglementations relativement aux pipelines, créerait trop de perturbations, et que d’autres propositions dans le rapport répondent de façon plus appropriée aux craintes concernant une partialité de l’ONÉ envers les entreprises pétrolières et gazières à Calgary. Mme Notley a dit mardi n’avoir constaté aucune preuve d’un biais de l’ONÉ évoqué par quelques observateurs devant le comité, et certainement pas en raison de sa position géographique.
Désinvestissement et subventions aux hydrocarbures
Mobilisation environnement Ahuntsic-Cartierville croit que les investissements privés et publics dans le secteur des hydrocarbures devraient être retirés et réinvestis dans des secteurs plus profitables à l’ensemble de la société. Pour plus de détails, voir notre page sur le désinvestissement.
ROYAUME-UNI: BMO commits to £20m fossil fuel divestment
Fund Strategy | Jessica Tasman-Jones|15 mai 2017
BMO Global Asset Management has announced it is divesting from fossil fuels within its £1.6bn responsible funds range. The new policy takes immediate effect for its Global and Emerging Market strategies within the range, but UK strategies will take longer longer to divest due to the heavy weighting towards oil majors in the index. As a result the full fund range will not be divested until 1 January 2020. Director in the governance and sustainable investment team Vicki Bakhshi says there is a lack of choice for divested strategies in the market. This is despite the fact that one third of UK retail investors stating they would like a fossil-free option for their savings, according to a YouGov survey conducted in late 2015. Bakhshi says the fund range doesn’t just exclude companies, but also allocates capital to companies delivering solutions on climate change.
QUÉBEC: Marmott Énergies: les premières obligations vertes québécoises
Les Affaires | Diane Bédard |16 mai 2017
Il n’y a pas que le gouvernement du Québec qui peut émettre des obligations vertes. La plateforme canadienne CoPower, dont le siège social se trouve à Montréal, en émet aussi. Fondée en 2013, CoPower permet aux investisseurs de contribuer à des projets de transition énergétique. Ils peuvent ensuite suivre le rendement financier et l’impact environnemental générés par leur placement sur un tableau de bord personnel. Le rendement se situe autour de 5%. L’échéance des obligations se situe entre 18 et 60 mois. Le 9 mai dernier, CoPower a financé son premier projet au Québec. Marmott Énergies, spécialisée en géothermie, a bénéficié d’une émission d’obligations vertes de 1M$ assortie d’une échéance de 60 mois.
MARYLAND: County Council approves fossil fuel divestiture resolution
My MC Media | Douglas Tallman |17 mai 2017
The Montgomery County Council passed a resolution Tuesday urging the boards managing county employee pension plans to minimize investments in companies with the largest fossil fuel reserves. The vote was 8-1, with Councilmember Nancy Floreen the only nay vote. The resolution has no binding effect. Council President Roger Berliner sought the measure to encourage the pension plans’ oversight boards with a mechanism to divest from fossil fuel companies “whose work threatens our planet” while they also meet their fiduciary responsibilities. The matter sparked testy remarks from Councilmember George Leventhal, who objected to a last-minute change to the resolution — the addition of a reference to the Carbon Underground 200. According to its website, the Carbon Underground 200 is a list of the 100 largest public oil and gas, and the 100 largest public coal companies.
CANADA: Rapport du vérificateur général: Ottawa n’a pas de plan pour éliminer les subventions aux énergies fossiles
Le Devoir | Alexandre Sheilds |17 mai 2017
Même s’il s’est engagé il y a près de 10 ans à éliminer les subventions aux énergies fossiles, le gouvernement fédéral n’a toujours pas mis en oeuvre de plan pour y parvenir, conclut le Vérificateur général du Canada. Le ministère des Finances a même refusé de lui fournir certains documents. Dans son rapport du printemps 2017, le vérificateur général Michael Ferguson souligne ainsi qu’il n’a pas été en mesure d’« établir de façon concluante si le ministère des Finances avait contribué à la mise en oeuvre de l’engagement pris par le Canada en 2009 lors du sommet du G20 d’éliminer progressivement et de rationaliser » les subventions offertes année après année aux entreprises du secteur pétrolier et gazier. « Nous avons conclu qu’Environnement et Changement climatique Canada avait défini un plan pour appuyer la mise en oeuvre de l’engagement du G20 pris par le Canada en 2009. Cependant, le ministère [des Finances] n’avait pas encore mis ce plan en oeuvre. » Le problème, c’est que le ministère a refusé au vérificateur l’accès à plusieurs centaines de pages de documents exigés, sous prétexte que celles-ci étaient « confidentielles ». « Je suis très préoccupé par le fait que le ministère des Finances ne nous ait pas donné toute l’information dont nous avions besoin », a d’ailleurs affirmé Michael Ferguson. « L’accès à l’information est fondamental à notre indépendance et au travail que nous effectuons », a-t-il ajouté.
CLIMAT
UN examines fossil fuel influence in climate talks process
BBC News | Matt McGrath | 10 mai 2017
Environmental groups allege that fossil fuel industries are funding a number of business and industry participants in these talks. These groups should be restricted, say the campaigners, because they say their goal is to slow down or derail progress. Business representatives say that the discussion is an attempt at censorship. At this meeting in Bonn, the UN has convened a special workshop on the role of observer organisations that make up a significant proportion of the attendees at these events. Some countries including India, China, Indonesia and Ecuador are calling for clearer and tighter rules around potential conflicts of interest. A recent report from Corporate Accountability International gave details of what the group claimed were the connections between fossil fuel industries and business non-governmental organisations (NGOs) with links to the UN climate talks process. « There are over 270 business and industry NGOs accredited to the UNFCCC, » Jesse Bragg from Corporate Accountability International told BBC News. « Many of these groups represent the interests of fossil fuel companies around the world. » « What many parties are saying now is that we need to take a look at what voices we want to have heard in the climate policy making process. »
Earth Just Passed 410 PPM CO2 Levels for the First Time in Human History
Karla Lant | Futurism | 27 avril 2017
On April 18, Earth breached its latest climate change milestone. For the first time in human history, atmospheric carbon dioxide levels were measured at 410 parts per million (ppm). The Keeling Curve, a University of California San Diego, Scripps Institution of Oceanography program, recorded the milestone at Mauna Loa Observatory in Hawaii. This was a sobering moment for scientists, albeit hardly surprising. Since last year, when our planet’s dangerous new normal atmospheric CO2 levels were 400 ppm, scientists have warned the public that the next milestone of 410 ppm was coming.
JE PASSE À L’ACTION!
Parce que vous pouvez faire la différence! D’autres moyen de passer à l’action pour protéger le climat par ici!
Signez le pacte de résistance du Regroupement vigilance hydrocarbures Québec (RVHQ)
Pacte de résistance
Il est urgent que le Québec et le Canada tournent la page sur les énergies du passé, sources de gaz à effet de serre et de dérèglements climatiques. En conséquence de ce qui précède, j’avise les gouvernements du Québec et du Canada ainsi que les compagnies, leurs représentants et toute autre partie intéressée que je n’autorise personne à pénétrer dans mon milieu de vie, sur mon territoire, ni au Québec afin de mener des travaux en lien avec un projet pétrolier ou gazier.
29 mai au 2 juin 2017 – Ensemble à vélo au boulot
Vélo-Québec
Chaque jour, choisissons le plaisir avant et après le travail : allons tous à vélo au boulot! Essayer un mode de transport rapide, efficace, sain, accessible et bénéfique, c’est l’adopter. Comme nous sommes de plus en plus nombreux à faire ce choix et à en apprécier les bienfaits, invitons un(e) collègue à faire de même. Les déplacements aisés sont à notre portée! Journée vélo-boulot, mercredi 31 mai: Vous aimeriez aller travailler à vélo? Vous avez des questions concernant les consignes de sécurité, les itinéraires à emprunter, la complémentarité du transport collectif? Venez nous voir à la journée vélo-boulot et profitez de l’occasion pour pique-niquer avec nous au centre-ville de Montréal.
Samedi 27 mai 2017 – Fête des plantes et distribution aux citoyens par Ville en vert au parc Ahuntsic
Pavillon du parc Ahuntsic – Samedi le 27 mai 2017, 9h-14h
Participez avec nous à la la 3e édition de la Fête des plantes, organisée par Ville en vert, aux abords du pavillon du parc Ahuntsic. Au programme : dégustations, ateliers, kiosques et conférences. Aussi, vente de plantes potagères et indigènes. Fleurs annuelles, vivaces et fines herbes disponibles gratuitement sur présentation d’une preuve de résidence. Apportez votre contenant rigide.
NOTRE PROPRE PÉTITION : Aménagez plus de pistes cyclables dans Ahuntsic-Cartierville
Mobilisation environnement Ahuntsic-Cartierville
Nous demandons à ce que l’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville et la ville de Montréal:
1) aménagent rapidement les pistes cyclables projetées depuis le plan de transport de 2008;
2) intègrent à leur planification les pistes cyclables proposés par Mobilisation Environnement Ahutnsic-Cartierville sur les rues Sauriol, Gouin, Georges-Baril et Garnier;
3) proposent de nouveaux axes cyclables.
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26, 27, 28 mai 2017 – Premier salon du véhicule électrique de Montréal
Place Bonaventure, Montréal
Dans le but de rendre plus accessible l’entrée les passionnés et curieux de la mobilité électrique, la direction du Salon a décidé d’offrir la possibilité d’une admission gratuite aux visiteurs de l’événement. Cependant l’admission gratuite est offerte à deux conditions :
– Il faut s’inscrire en ligne afin d’obtenir son laissez-passer gratuit.
– Il faut accepter de donner son consentement à recevoir les communications électroniques du Salon du véhicule électrique de Montréal. L’offre se termine le 23 mai 2017.
Déjà plus de 24 000 personnes ont passé ont fait leur inscription en ligne pour obtenir un billet gratuit, et ce, à plusieurs semaines de cette première à Montréal et avant même le début de la campagne publicitaire. Nous attendons entre 25 000 et 30 000 visiteurs.
PÉTITION: Le gouvernement fédéral doit éliminer les subventions aux énergies fossiles d’ici 2020
Équiterre
Le gouvernement canadien doit agir maintenant et arrêter de verser des milliards en subventions aux industries du charbon, du pétrole et du gaz naturel, les encourageant ainsi à produire et à polluer davantage. Au Canada, ces subventions s’élèvent à 3,3 milliards $, ce qui revient à payer les pollueurs 19 $ la tonne de carbone. Ces montants versés en subventions aux sociétés pétrolières et gazières réduisent dramatiquement les chances du Canada d’atteindre son objectif de réduction des GES et transmettent des messages contradictoires aux producteurs et aux utilisateurs d’énergies fossiles. Je signe pour demander d’éliminer les subventions aux énergies fossiles!
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