Nous lançons notre propre pétition pour demander l’aménagement de plus de pistes cyclables dans Ahuntsic-Carterville.
Transports actifs et collectifs
Nos pages sur les transports actifs et les transports collectifs dans Ahuntsic-Cartierville.
BUDGET FÉDÉRAL et REM: Ottawa prêt à investir près de 1,5 milliard
La Presse | JOËL-DENIS BELLAVANCE, MAXIME BERGERON | 24 mars 2017
(OTTAWA) Le gouvernement Trudeau maintient qu’il souhaite fortement investir dans le Réseau électrique métropolitain (REM), même s’il est demeuré relativement silencieux sur ce projet de 6 milliards de dollars piloté par la Caisse de dépôt et placement dans son budget de mercredi, et il s’explique mal les réactions virulentes de Québec à ce sujet.
BUDGET PROVINCIAL et REM: La part belle au transport collectif
Le Devoir | Marie-Michèle Sioui | 29 mars 2017
Le gouvernement Couillard a confirmé mardi sa participation, à la hauteur de 1,3 milliard, au projet de Réseau électrique métropolitain (REM), dans un budget qui fait par ailleurs la part belle au transport collectif, dans les grandes villes comme en région. Le ministre des Finances, Carlos Leitão, prévoit que l’investissement fédéral atteindra le même niveau que celui annoncé par Québec. Le gouvernement Trudeau s’est jusqu’ici dit disposé à financer le REM, sans avancer de chiffres. Aux 2,6 milliards que fourniraient les gouvernements provincial et fédéral si les propositions du Québec s’avèrent s’ajouteraient les 2,67 milliards qu’attend le gouvernement de CDPQ Infra, la filiale de la Caisse de dépôt responsable de la réalisation du projet. La Caisse doit bénéficier d’un rendement prioritaire de 8 % sur son investissement.
Le projet de REM contesté devant la Cour : Une coalition réclame l’annulation de l’entente entre Québec et la Caisse de dépôt
Le Devoir | Jeanne Corriveau | 24 mars 2017
Québec doit mettre un frein au Réseau électrique métropolitain (REM) de la Caisse de dépôt et placement du Québec et soumettre le projet à une nouvelle évaluation, estime une coalition d’organismes et de citoyens qui s’adressera à la Cour supérieure vendredi pour tenter de bloquer le projet, a appris Le Devoir. La Coalition Climat Montréal, un regroupement d’organismes qui militent pour la réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) de même que cinq citoyens entendent signifier vendredi matin une demande introductive visant à suspendre les travaux du REM et à demander la tenue d’une nouvelle consultation par le Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE). Les demandeurs, qui ont notamment reçu l’appui Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP), estiment que le projet qui a fait l’objet d’une étude par le BAPE l’automne dernier était incomplet, ce qui a vicié le processus. Ils soulignent d’ailleurs que le BAPE s’était montré très critique. Dans son rapport publié en janvier, l’organisme avait refusé d’émettre un avis favorable, estimant que trop d’informations importantes faisaient défaut. Clip radio d’une entrevue de Dutrizac à 98,5 avec Ricardo Hrtschan, l’avocat qui défend cette coalition.
« La 19, on va la réaliser », promet le premier ministre Couillard
Ici Radio-Canada | Francis Labbé | 24 mars 2017
Le premier ministre du Québec, Philippe Couillard, est catégorique : l’autoroute 19 sera prolongée d’ici peu. Une sortie bien accueillie par le maire de Bois-des-Filion, qui se garde bien d’un excès d’enthousiasme. « La première fois qu’un premier ministre nous a annoncé l’autoroute 19, le capitaine du Canadien de Montréal était Henri Richard », souligne le maire Paul Larocque, porte-parole de la Coalition pour le parachèvement de l’autoroute 19. « J’y crois beaucoup, et on va le faire », a déclaré Philippe Couillard en entrevue à Radio-Canada jeudi en fin de journée. Il complétait alors la visite d’une usine d’explosifs à Brownsburg, à l’ouest de Lachute, dans les Laurentides.
Lessard confirme que Québec penche plus pour un boulevard urbain
Le Journal des voisins | Alain Martineau | 29 mars 2017
Est-ce que les carottes sont cuites pour ceux qui ont mené encore tout récemment une campagne « multimédia » en faveur du prolongement de la A-19 en autoroute? La Coalition pour le parachèvement de l’A19 avec voies réservées pour le transport collectif (en faveur de l’autoroute) pourrait bientôt déchanter si Transports Québec, le Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE) et le gouvernement Couillard en bout de piste tranchent pour un moderne boulevard urbain avec feux de signalisation. Mercredi, lors des travaux parlementaires à Québec, le ministre des Transports, Laurent Lessard, s’est avancé comme jamais sur le sujet… «Oui, on semble plus tendre vers le boulevard urbain», a-t-il mentionné. M. Lessard, qui va bientôt rencontrer la Coalition qui tient mordicus à son autoroute, a insisté, tout comme la députée de Crémazie en entrevue mercredi au journaldesvoisins.com, sur la nécessité de diminuer l’empreinte carbone (dont les déplacements en solo).
Ahuncycle poursuit sa mobilisation
L’arrivée de l’été annonce pour plusieurs le retour du vélo dans les rues Montréal tandis que certains irréductibles de la bécane en font à l’année, comme dans plusieurs pays scandinaves. Depuis plusieurs années, la Ville tente d’adapter ses rues pour faciliter la mobilité des cyclistes et des piétons. Mais le regroupement citoyen adeptes du vélo d’Ahuntsic-Cartierville, Ahuncycle, croit qu’il reste encore beaucoup à faire et que les élus ne prennent pas tous en considération leurs doléances. Fondé au printemps 2014 par des passionnés du vélo, Ahuncycle est un regroupement de citoyens faisant la promotion du transport actif au sein de l’arrondissement. Fort de 500 membres sur leur page Facebook, le regroupement milite au sein de l’arrondissement pour un changement dans les rues d’Ahuntsic-Cartierville.
Verdissement
Nos pages sur les ruelles vertes et la canopée urbaine dans Ahuntsic-Cartierville.
Voir plus loin que sa ruelle
Le Devoir | Etienne Plamondon Emond | 25 mars 2017
La Coop Carbone et l’organisme sans but lucratif Solon repoussent les limites du concept de ruelle verte. Un de leurs projets, en démarrage ces jours-ci, vise à étendre la mobilisation citoyenne à des voisinages comptant plus d’une dizaine de ruelles, afin de lutter contre les changements climatiques, mais aussi de revigorer le tissu social des quartiers.
Cap Nature: consultation publique sur fond de méfiance
Cités nouvelles, Ouest de l’île | François Lemieux | 27 mars 2017
Parc-nature de l’Anse-à-l’orme, chez nos voisins de Pierrefonds-Roxboro. Deux ans après que le projet Cap Nature eut été officiellement présenté à la population de Montréal, la première consultation publique sur Pierrefonds-Ouest s’est déroulée dimanche, un exercice dont la pertinence a été mise en doute par certains citoyens qui craignent de faire face à un fait accompli. De 11h à 15h, les citoyens de l’Ouest-de-l’Île étaient invités par l’Office de consultation publique de Montréal (OCPM) à visiter une série de kiosques érigés à l’intérieur de l’école secondaire Pierrefonds Comprehensive. Promoteurs, représentants de la Ville, étudiants et environnementalistes étaient tous présents pour présenter leur point de vue sur le projet de 5500 logements. Sur le coup de 15h, la Ville et l’arrondissement ont procédé à une présentation sur l’historique récent des terres agricoles visées par le projet. S’en est suivie une période de questions. C’est pendant cette dernière que certains citoyens ont manifesté leur méfiance et leurs craintes face au processus en cours.
Énergie Est
Énergie Est est un projet de pipeline de la compagnie TransCanada qui transportera du pétrole issu des sables bitumineux de l’ouest canadien vers les marchés étrangers tout en mettant en péril notre eau portable. Pour plus de détails.
Rona Ambrose doute que le projet d’Énergie Est se matérialisera
TVA Nouvelles | Agence QMI | 27 mars 2017
Rona Ambrose doute que le projet d’oléoduc Énergie Est puisse un jour se concrétiser en raison de la forte opposition qu’il rencontre à Montréal, rapporte le réseau Global News. «Je dois être totalement honnête avec vous, je ne vois pas comment le projet pourra se réaliser», a lancé la chef intérimaire du Parti conservateur du Canada, lundi, devant la Chambre de commerce de Toronto. «Je ne vois pas comment Énergie Est pourra se passer de l’appui de Montréal. C’est la réalité politique.» Mme Ambrose ne croit pas que Denis Coderre changera sa position. Le maire de Montréal s’est fortement opposé au projet de pipeline de 4500 kilomètres reliant l’Alberta aux Maritimes. Même si Énergie Est réussi à passer à travers toutes les audiences de l’Office national de l’énergie et que des centaines de restrictions lui sont imposées, Mme Ambrose estime que le gouvernement libéral ne pourra pas aller de l’avant avec un projet qui n’a pas le «sceau social». «Si vous croyez que Denis Coderre à Montréal et les groupes qui se sont organisés contre Énergie Est donneront leur approbation, moi je n’y crois pas. J’aimerais pouvoir être plus optimiste», a conclu Mme Ambrose.
Énergie Est serait encore plus risqué, selon des experts
Le Journal de Montréal | Hugo Duchaine | 26 mars 2017
Les dangers d’un déversement de bitume du pipeline Énergie Est près du fleuve Saint-Laurent seraient encore pires qu’appréhendé, alertent des experts en traitement de l’eau qui se basent sur un accident survenu en Saskatchewan l’été dernier. «Le bitume dilué [que transporterait Énergie Est] ne reste pas juste en surface, il coule. Les prises d’eau ont donc beau être en profondeur, il n’y a pas de solution à ça», lance Guy Coderre, enseignant au Centre national de formation en traitement de l’eau. M. Coderre a présenté il y a quelques jours sa nouvelle étude au Forum sur l’environnement Americana, à Montréal. Il mesure les conséquences d’un déversement de bitume dilué survenu l’été dernier dans le nord de la Saskatchewan. Ses constats sont alarmants. À la suite d’un bris survenu à 300 mètres d’une rivière, 100 000 litres de bitume s’y sont échappés. La rivière a été polluée sur une distance de 500 km, en dépit des tentatives qui ont été faites pour retenir le bitume…Le déversement a entraîné la fermeture de trois prises d’eau pendant 55 jours et les villes ont dû creuser de nouveaux puits pour fournir de l’eau potable aux citoyens. Mais Guy Coderre soutient qu’une telle solution de rechange est impossible à Montréal et pour toutes les autres villes autour du fleuve Saint-Laurent, qui n’ont aucune autre façon de s’approvisionner en eau.
Énergie Est: le National Observer en nomination pour son enquête sur «l’Affaire Charest»
EcoQuébec Info | National Observer, traduction écoQuébec Info | 25 mars 2017
Après avoir reçu en début de semaine une prestigieuse nomination au Concours canadien de journalisme, le National Observer est heureux d’annoncer qu’il est également sélectionné par L’Association Canadienne des Journalistes (ACJ) pour un reportage d’enquête. Ce vendredi, l’ACJ a dévoilé sa sélection pour 2016, annonçant que la série d’articles sur « l’Affaire Charest » de Mike De Souza est finaliste dans la catégorie « journalisme d’enquête exceptionnel » pour les médias en ligne. « L’Affaire Charest » est le nom donné à l’enquête exclusive de Mike De Souza qui révèle un potentiel conflit d’intérêts au sein du régulateur fédéral des pipelines, alors que ce dernier analyse le plus gros projet de l’histoire de l’Amérique du Nord.
L’Office national de l’énergie fusionne les audiences de deux projets de TransCanada
Le Devoir | Alexandre Shields | 29 mars 2017
L’Office national de l’énergie vient de rendre service à TransCanada. L’organisme a annoncé mercredi qu’elle fusionnera les audiences de deux projets pourtant distincts de la pétrolière, dont le pipeline Énergie Est. Une décision qui permettra des « gains d’efficacité » dans l’évaluation de ces deux projets de transports d’énergies fossiles. L’organisme fédéral entend ainsi étudier le projet Énergie Est en même temps que le projet du « réseau principal Est », au lieu de mener deux audiences distinctes. Ces deux projets ne sont toutefois pas situés dans la même région et ne comportent pas les mêmes risques environnementaux, puisque l’un transportera du gaz naturel, tandis que l’autre transportera du pétrole des sables bitumineux.
À l’occasion de la journée mondiale de l’eau, plusieurs députés et organisations demandent la protection de notre eau potable de la menace que représente le développement des hydrocarbures
Eau Secours | 22 mars 2017
Un bon résumé des enjeux! [Point de presse ] Eau Secours a participé ce matin à un point de presse pour la Journée mondiale de l’eau en compagnie du Parti Québécois, de Québec solidaire, de Coule pas chez nous, de OBV du Québec, d’Équiterre et de Nature Québec. L’intervention de notre directrice générale commence à 8:47.
Fracturation hydraulique
Pour un survol des enjeux de la fracturation hydraulique.
Appui de la ville de Montréal au regroupement de municipalités québécoises pour une protection accrue des prises d’eau potable
Résolution CM17 0107
À la demande du Réseau Vigilance Hydrocarbures Québec (RVHQ) dont le MEAC est membre, la ville de Montréal a adopté en février dernier une résolution appuyant les villes qui demandent une dérogation afin de protéger leur eau potable de la fracturation hydraulique. « À ce jour, 331 municipalités provenant de 75 municipalités régionales de comté et agglomérations qui regroupent 1,2 millions de citoyens ont participé à la démarche commune des municipalités en faveur d’une dérogation au RPEP et 295 d’entre elles ont présenté une requête commune au ministère du Développement durable, de l’Environnement et de la Lutte contre les changement climatique (MDDELCC) afin de leur permettre de réglementer de façon plus sévère la proximité des sources d’eau des sites de forages gaziers ou pétroliers. »
Gaz de schiste : Le gouvernement libéral doit reprendre les permis abandonnés par Junex
CNW Telebec | Cabinet du chef de l’opposition officielle | 30 mars 2017
QUÉBEC, le 30 mars 2017 /CNW Telbec/ – Alors que la compagnie Junex abandonne 34 permis, représentant une superficie totale de 6700 km2 dans les régions de la Capitale‑Nationale, de la Chaudière‑Appalaches, de l’Estrie et de la Mauricie, le chef de l’opposition officielle, Jean‑François Lisée, et le porte‑parole du Parti Québécois en matière d’énergie, Sylvain Rochon, demandent au gouvernement libéral de ne pas les remettre sur le marché. Ayant déposé une motion en ce sens, ils déplorent vivement que le gouvernement et la CAQ l’aient rejetée.
Office national de l’énergie
L’Office National de l’Énergie (ONÉ) qui responsable d’évaluer les impacts environnementaux du pipeline Énergie Est a cependant peu de crédibilité puisque ses membres sont en grande partie issus du monde des hydrocarbures. À l’occasion des audiences concernant la réforme de l’ONÉ, nous suivrons le déroulement des audiences ainsi que les actions des citoyens pour demander une réforme en profondeur du processus d’évaluation.
ONE: aucun conflit d’intérêts, soutient la coprésidente du comité fédéral
Le Devoir | Alexandre Shields | 29 mars 2017
Mme Lauzon [coprésidente du comité mis sur pied pour recommander des moyens de moderniser l’Office national de l’énergie] ne voit toutefois pas de problème à ce qu’elle et ses collègues aient été ou soient encore aujourd’hui liés à une industrie dont plusieurs projets dépendent directement de la réglementation appliquée par l’Office national de l’énergie (ONE). « Nous sommes capables de faire la part des choses, a-t-elle fait valoir mardi, en entrevue. Je crois que les gens autour de la table doivent être capables de faire abstraction de leurs affiliations et de dire : “Qu’est-ce qui est le mieux à faire pour le bien-être des citoyens canadiens ?” »
Des groupes environnementaux maintiennent la pression sur l’ONÉ
Le Devoir | Mylène Crête – La Presse canadienne à Ottawa | 27 mars 2017
Dix groupes environnementaux du Québec demandent à l’Office national de l’énergie (ONÉ) de déclencher une enquête sur la rencontre privée entre l’ex-premier ministre Jean Charest et les trois commissaires qui étaient chargés d’étudier le projet d’oléoduc Énergie Est. Une manifestation est prévue mardi matin devant l’hôtel Delta à Montréal où un comité d’experts nommé par le gouvernement doit tenir deux jours de consultations publiques. Ces consultations font partie de l’exercice de modernisation de l’ONÉ promis par le gouvernement Trudeau. « Il faut définitivement comprendre et savoir ce qui s’est passé, surtout ce qui est illégal, pour avoir une réforme utile », soutient le président de l’Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique (AQLPA), André Bélisle.
Une enquête réclamée sur une rencontre entre Charest et trois commissaires de l’ONE
Ici Radio-Canada | La Presse Canadienne | 27 mars 2017
Une manifestation est prévue pour mardi matin devant l’hôtel Delta à Montréal, où un comité d’experts nommé par le gouvernement doit tenir deux jours de consultations publiques. Ces consultations font partie de l’exercice de modernisation de l’ONE promis par le gouvernement Trudeau. « Il faut définitivement comprendre et savoir ce qui s’est passé, surtout ce qui est illégal, pour avoir une réforme utile », soutient le président de l’Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique (AQLPA), André Bélisle. Les commissaires Roland George, Jacques Gauthier et Lyne Mercier se sont récusés en septembre 2016 après que le National Observer eut révélé l’existence de cette rencontre qui a eu lieu en janvier 2015. Jean Charest était alors consultant pour TransCanada, le promoteur d’Énergie Est.
L’ONÉ peut déroger aux règlements municipaux, conclut la Cour d’appel de Colombie-Britannique
Le Devoir | La Presse Canadienne | 27 mars 2017
Vancouver — Dans un litige opposant la Ville de Burnaby et le promoteur de l’oléoduc Trans Mountain, la Cour d’appel de Colombie-Britannique conclut que l’Office national de l’énergie (ONÉ) a le pouvoir de déroger à un règlement municipal. Trans Mountain devait amorcer en 2014 des travaux exploratoires sur le mont Burnaby, ce qui obligeait l’entreprise à couper des arbres, à forer des trous de sonde et à utiliser de la machinerie lourde — des activités qui contrevenaient à la réglementation municipale. L’entreprise avait auparavant demandé à l’ONÉ si elle pouvait procéder sans le consentement de la Ville. La Ville de Burnaby n’a pas contesté l’avis favorable de l’ONÉ, mais lorsque Trans Mountain a commencé ses travaux, en septembre 2014, la compagnie a reçu un avis de violation des règlements municipaux. L’affaire a été déférée en Cour suprême de Colombie-Britannique (l’équivalent de la Cour supérieure), qui a statué en 2015 que l’ONÉ disposait du pouvoir constitutionnel de déroger aux règlements municipaux. La Cour d’appel a confirmé lundi ce jugement de première instance. Au nom de deux de ses collègues, la juge Lauri Ann Fenlon écrit que l’ONÉ peut négocier un compromis entre les règlements municipaux et les pouvoirs qui lui sont conférés par la loi. La Ville de Burnaby s’oppose toujours au projet de 7,4 milliards, qui prévoit de tripler la capacité de l’oléoduc qui achemine du pétrole des sables bitumineux de l’Alberta jusqu’au Pacifique. La Ville a demandé à la Cour d’appel fédérale, en décembre, le droit de contester le feu vert donné par le gouvernement libéral de Justin Trudeau en novembre.
Je m’implique!
Parce que vous pouvez faire la différence! D’autres moyen de passer à l’action pour protéger le climat par ici!
NOTRE PROPRE PÉTITION : Aménagez plus de pistes cyclables dans Ahuntsic-Cartierville
Mobilisation environnement Ahuntsic-Cartierville
Nous demandons à ce que l’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville et la ville de Montréal
1) aménagent rapidement les pistes cyclables projetées depuis le plan de transport de 2008;
2) intègrent à leur planification les pistes cyclables proposés par Mobilisation Environnement Ahutnsic-Cartierville sur les rues Sauriol, Gouin, Georges-Baril et Garnier;
3) en proposant de nouveaux axes cyclables.
PÉTITION : Opposition à l’exploration et l’exploitation des hydrocarbures sur le territoire québécois
Assemblée nationale | avant le 16 avril
Avec 1000 signature, une question peut être posée à l’assemblée nationale sur le sujet. Nous, soussignés, demandons au gouvernement du Québec d’interdire l’exploration et l’exploitation des hydrocarbures sur l’ensemble du territoire de la province.
PÉTITION : Branchons le Canada sur les énergies renouvelables!
Fondation David Suzuki
L’élan mondial vers les énergies renouvelables est irréversible et il est grand temps que le Canada agisse pour propulser son économie énergétique et lui assurer un avenir stable et prometteur. Aujourd’hui, le coût des énergies renouvelables n’est plus un obstacle à leur adoption et celles-ci s’affirment de plus en plus comme le meilleur choix énergétique, d’un point de vue environnemental aussi bien qu’économique. Partout à travers la planète, des états et des entreprises investissent dans les énergies renouvelables et se taillent une place sur un marché mondial en plein essor. Au Canada, le secteur des technologies propres est lui aussi en plein essor et se situe déjà en tête de notre économie. Ce secteur génère des emplois bien payés tout en contrant les changements climatiques. Misons sur ce formidable élan pour faire progresser le dossier des énergies renouvelables au Canada! Dites au gouvernement que la transition vers les énergies renouvelables est en cours partout dans le monde et que nous voulons voir le Canada y participer activement!
PÉTITION: Dites au Musée canadien de l’histoire d’être du bon côté de l’histoire t de mettre fin à sa relation avec le lobby pétrolier
350 Canada
Le Musée canadien de l’histoire est commandité par l’Association canadienne des producteurs pétroliers (ACPP) dont Shell, Exxon et TransCanada sont membres. L’ACPP tente d’affaiblir nos lois en matière de climat et d’environnement, en plus de promouvoir des intérêts qui portent atteinte aux droits autochtones. Le musée le plus emblématique du Canada ne doit pas se compromettre avec l’industrie pétrolière. Le Musée doit être du bon côté de l’Histoire et rompre ses liens avec le lobby pétrolier le plus puissant au pays.
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